Né en 1933, à Paris, il étudie la peinture aux Beaux-Arts de cette ville, avec Brianchon et Legueult, l'eau-forte avec Goërg. Ce passage fut récompensé par deux médailles d'or.
Son caractère indépendant et sauvage lui laisse
néanmoins une vision subtile et très émotionnelle que l'on retrouve
dans ses compositions, toujours exprimées par une palette délicate et
sensible, faisant découvrir une luminosité recherchée dans
l'organisation des formes, laissant surtout le rêve investir l'esprit,
jouant avec l'émotion, mêlant matière et couleur, sachant amener une
perception sensible chez le spectateur et l'émouvoir au-delà du réel.
Sa peinture néofigurative tout d'abord, puis
absraite, va au-delà des deux dimensions de la toile pour vous projeter
dans l'infini de l'imagination humaine.
Il est présent dans les Salons parisiens, expose
aux USA, au Japon, et localement dans quelques villes de Normandie, où
il vit depuis 40 ans, dans sa chaumière, au calme, en communion avec la
nature et les oiseaux avec qui il parle de liberté, état qui lui est
précieux et qu'il partage avec eux, en son atelier de
Saint-Aubin-de-Scellon.
Certaines de ses oeuvres ont été achetées par la ville de Paris et des collectionneurs avertis. J'ai la joie d'en faire partie.
Pierre Mousset
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" le vase rouge " 117 x 81 cm![]()
" les bouleaux " 80 x 64 cm![]()
" chez Guillaume Tell " 73 x 110 cm
" Le port " 73 x 54 cm
" la mort d'Ophélie " 117 x 89 cm
" Trouée " 100 x 65 cm
" chemin " 73 x 54 cm![]()
" au delà du réel " 117 x 81 cm
" voyage " 73 x 54 cm
" universalité " 54 x 73 cm
" ultime voyage " 117 x 81 cm
" Le chemin " 100 x 65 cm
![]() En effet, les étapes de notre vie sont emplies de difficultés, d'épreuves, mais aussi de petits bonheurs où l'amour, l'amitié, la fraternité aident à rétablir l'équilibre et permettent de supporter ce difficile parcourt jusqu'au moment de l'épanouissement par la réalisation de soi, générateur de sérénité, conduisant au seul passage vers l'universalité. J'ai
donc pris la décision de peindre ces 14 stations, non pas de manière
figurative, mais uniquement par la couleur et des formes exprimant une
sensation, une émotion, une ambiance, plus qu'une image, d'où cette
création abstraite. Je me suis également permis de rajouter la 15ème,
qui se trouve être à mes yeux l'aboutissement et la conclusion des
précédentes : l'ascension, l'ouverture vers l'universalité.
Ma
démarche n'est pas faite pour heurter mais simplement pour démontrer
que nous sommes tous, quelles que soient nos idées, nos opinions, nos
religions, amenés à suivre un rythme cosmique et que cette symbolique
ne peut être que le chemin indiqué. Seul le langage peut différer !
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![]() I "le jugement"
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![]() II "Jésus chargé de sa croix"
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![]() III "Jésus tombe sous le poids de la croix"
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![]() IV "Jésus rencontre sa mère"
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![]() V "Simon aide Jésus" |
![]() VI "Véronique essuie le visage de Jésus" |
![]() VII "Seconde chute" |
![]() VIII "Jésus rencontre les femmes de Jérusalem" |
![]() IX "Troisième chute"
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![]() X "Jésus est dépouillé de ses vêtements"
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![]() XI "Jésus est cloué sur la croix"
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![]() XII "Jésus meurt sur la croix"
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![]() XIII "Jésus détaché de la croix"
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![]() XIV "La mise au tombeau"
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![]() l"appel du Père |